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Quelques fois au moment de la naissance du bébé, il est possible que des questions sur la réelle identité du père se posent, principalement s’il s’agit d’une relation extraconjugale. Au sein d’une union légale et reconnue, le père de famille jouit le plus souvent d’une paternité présumée. Dès lors, seul un test de paternité permet d’apporter la lumière sur la réelle identité du père du bébé.
À quel principe obéit le test de paternité ?
Il existe différentes méthodes pour déterminer la filiation le papa présumé et le bébé ; l’une de ces méthodes est le test de paternité. La reconnaissance de filiation ici est de mise principalement lorsqu’une action en justice est nécessaire du fait que soit, le père présumé refuse de connaître le bébé, soit le bébé avait été préalablement reconnu par un autre. Si vous avez des questions quant à la paternité de votre bébé, commandez votre test de paternité sur ce site et levez les doutes qui vous assaillent.
Comprendre le test de paternité
L’ADN (Acide Désoxyribo Nucléique) de l’enfant est la combinaison des ADN de ses parents. C’est donc la concordance des empreintes génétiques de l’enfant et du père que l’ion recherche via un test de paternité. En cas de grossesse, surtout hors mariage, il est possible d’établir assez rapidement la filiation entre le papa présumé et le bébé en prélevant du liquide amniotique de l’utérus. Généralement, l’amniocentèse s’effectue dès la 14e semaine jusqu’à la 20e semaine de grossesse.
Lors du test de paternité, on compare la taille des marqueurs génétiques du bébé et du père présumé. Le laboratoire va alors regarder aux microsatellites (répétitions de motifs ayant soit 2, soit 10 nucléotides). Ces répétitions vont être observées sur l’ensemble des paires de chromosomes ; chromosomes qui seront multipliés via une réaction à chaîne polymérase. Un résultat de 99,99 % montre que les deux individus sont liés. Les résultats sont disponibles très souvent sous 72h.